dimanche 3 juin 2012

VENISE - Carnet de bord - 11



Rien de nouveau à Venise, mais la quête de soi, son labyrinthe comme les quartiers de Venise, sa beauté caché son lien à l'infini avec la mer. Cela est finalement assez accessible mais il faut se dégager de l'artificiel et c'est difficile. Je suis une ombre qui marche dans le débordement des vanités dans l'étalement du luxe ou je circule dans un théâtre d'ombre et je me sens lumière. J'expérimente l'effacement. On s'épuise à trouver une direction un but un sens. A force on en devient austère. Squelettique. On disparait. 

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