Nous marchons dans la forêt
de Saoû
l'obscur nous enserre
l'ombre nous enveloppe
cherchant une issue
on se heurte sans cesse
à la paroi du Synclinal
la muraille est couverte
de végétal
qui pend comme des cheveux
de vieille femme
parfois un trou noir
happe le regard
2 commentaires:
Ces trous noirs ajoutent un infini mystère à l'épaisseur sombre d'une forêt qui, déjà, n'en manquait pas... Je t'envie cette beauté sylvestre...
Comme j'aimerais être un elfe pour pouvoir m'envoler!
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