j'appris que se cachait dans le cœur du charbon des mines de ma ville une fleur de cristal
sur les crassiers noirs le rouge de la révolte le sang des mineurs la pierre de réalgar
ce réel regard creuse
en moi dans le noir
le feu de la joie
nourrissant l'espoir
ce feu intérieur brûle
mais ne consume pas
dans l'ardeur des mots
il se libère il affleure
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire