Il reste deux ou trois choses
à dire sous le ciel, deux
ou trois seulement par quoi
les poètes comme les chevaux
les chiens perdus, les lisières
se reconnaissent _ c'est un
creux, une ride, une veilleuse
dans la nuit de l'œil, _ deux
ou trois chose à peine
qu'on peut entendre et qui
nous tiennent comme l'été
dans la langue d'avril
à la merci des marges.
Guy Goffette
L'adieu aux lisières
1 commentaire:
Ah ! les marges tout un monde s'y abrite... parfois ce sont des portes dérobées pour éviter l'ennui...
Merci pour vos mots à la maison chère Estourelle
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